Juin 1944, la France est toujours sous l’Occupation allemande. L’écrivain Robert Antelme, figure majeure de la Résistance, est arrêté et déporté. Sa jeune épouse Marguerite, écrivain et résistante, est tiraillée par l’angoisse de ne pas avoir de ses nouvelles et sa liaison secrète avec son camarade Dyonis. Elle rencontre un agent français de la Gestapo, Rabier, et, prête à tout pour retrouver son mari, se met à l’épreuve d’une relation ambiguë avec cet homme trouble, seul à pouvoir l’aider. La fin de la guerre et le retour des camps annoncent à Marguerite le début d’une insoutenable attente, une agonie lente et silencieuse au milieu du chaos de la Libération de Paris.
Je suis allée voir ce film avec mon amie espagnole R. Bon c’est du Duras, je sais pas ce qui m’a pris, je n’aime pas lire du Duras, ça m’ennuie fortement. Et là, et bien c’est comme dans le livre sauf que les acteurs sont excellents. Une mention spéciale pour Benjamin Biolay que je découvre comme acteur et que j’ai trouvé extraordinaire.